On assemble, on rebâtit encore un peu
Voir on coud carrément
De la suédine bordeaux, un patron augmentée en taille A1
D'un coté, on trace, de l'autre, on bâtit
... une inspiration monstrueuse qui me sauta à la gorge. Elle était très agressive. Elle ne me lâchait pas. Elle me harcelait. Pour en finir, il me fallait passer à la création.
Je me saisis d'un velours blanc. Quelques coups de ciseaux, du fil et une aiguille en firent un ourson blanc.
Cependant, l'inspiration ne voulait pas en rester là.
...
Test du bustier
Alors là, c'est net, ça flotte. Donc j'ai ratiboisé tout ça. Moins 2 cm en tout et c'est nickel.
Test de la jupe de la robe [vous m'avez compris !], toujours en bâti.
Sans jupon
Avec jupon
Bon, c'est pas tout ça mais ce fameux chaperon, il va falloir le chausser pour qu'il aille foutre sa patée au Grand Méchant Loup.
A gauche, des Doc Martens bordeaux. A droite, des New Rock.
Une préférence ?
Découpage des pièces dans un lainage rouge [où la craie-tailleur ne veut pas tenir]
Le bustier
La jupe
Pour résoudre les soucis de craie, j'ai tout redessiné au fil de bâti. Moi, je vous le dis, faut en vouloir du chaperon.
Allez, on attaque la robe en même temps.
C'est donc la Burda 8174 qui a été retenue.
L'image du patron
Et voici la toile du bustier. C'est donc un 38 sauf pour la pièce avant qui est en 36.
On découpe les pièces dans chaque matière: simili cuir (rouge) pour l'extérieur, entoilage (noir) pour la rigidité et polyester (vert) pour la doublure.
Je peux voir dire que l'ensemble est simple sauf la partie bout des doigts qui est un calvaire. Obligé de le faire à la main et j'ai horreur de ça.
Après découpage, essai du chaperon. Il faut vérifier que ça tombe bien.
Vous en pensez quoi ?
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